Voilà près de 80 ans que la mer travaille à les démolir mais ils sont toujours là, échoués comme des montres marins sur la plage, offerts aux tagueurs en tous genres quand la mer se retire. Le MaRQ à choisi d’exposer deux tirages de Didier Gualeni dans une salle réservée aux sculptures. Elles tournent toutes le regard ailleurs, comme si ces monstres de bétons venaient déranger l’esthétique ambiante et la tranquillité de ces hôtes.